Ce havrais de 22 ans vient du monde du rock garage. Cependant, sa philosophie du métissage culturel l'a amené à concocter des textes exotiques mêlant hommages à Serge Gainsbourg, Paul Eluard aux rythmes de bossa nova.
Après avoir roulé sa bosse dans Les Craneurs et Rollin’ Bunkers, Ali Danel mène sa barque en solo, en parallèle de Mehaa et de Grand Guignol, avec ses guitares sous le bras, en auto-production.
En Août 2016, le label Major Asinus a sorti son premier single intitulé Wouw ! avec deux chansons pleines de joies et de fausse naïveté : Petite Fourmi et Cheveux Malices.
En Avril 2017, la Souterraine publie l'adaptation qu'Ali Danel a faite du poème de Paul Éluard, À peine défigurée. Le titre est alors diffusé sur Radio Nova et fait l'objet d'une chronique sur France Culture.
En Mai 2017, Major Asinus sort le premier EP qu'Ali Danel a autoproduit : L'Écume des nuits comprend cinq titres inspirés par Francis Bebey, Serge Gainsbourg et Philippe Katerine. Dans cet album, on découvre un hommage instrumental à peine caché au Sanza Tristesse de l’immense Francis Bebey et il n’hésite pas à s’attaquer au temple de la chanson française en signant Guadalajara (ville mexicaine) en hommage au Viva Villa de Gainsbarre et dont il reprend l'idée de la flûte traversière.
Ecoutez Ali Danel sur la Sonothèque :
Regardez le clip de sa chanson Derrière la montagne :